lundi 30 janvier 2012

Bonsoir à tous,
Nouvelle semaine qui commence et déjà bien remplie.   Et l'éternisation d'une certaine dame ne faciliterai pas vraiment tout ça, et oui , la neige …  Bien qu'elle permette de beau clichés, il faut reconnaître qu'elle immobilise, je croise donc les doigts pour que la météo qui annonce que demain déjà elle s'en ira, dise vrai !  Sinon je me suis amusée, j'ai mélangé mes dessins, mes textures  … et suis arrivée à ça 

et puis ce texte tiré d'un film bien connu et qui me parle plus que jamais:
« Au fur et à mesure que grandissent les filles, elles se font enseigner un tas de choses.Si un garçon vous donne un coup de poing c’est qu’il vous aime, n’essayez jamais de vous coupez vous même votre propre frange, un jour vous rencontrerez un gars merveilleux et vous vivrez alors votre propre conte de fée.
Tous les films que nous voyons, toutes les histoires qu’on nous raconte nous implorent d’attendre que ça nous arrive. Le coup de théâtre du 3e acte...
la déclaration d’amour inattendu... l’exception qui confirme la règle. Mais nous sommes parfois si pressées de vivre notre conte de fée que nous n’apprenons pas à interpréter les signes. Comment faire la différence entre ceux qui sont intéressés par nous et ceux qui ne le sont pas ? Ceux qui resteront avec nous et ceux qui ne resteront pas ?
Il se peut que parfois le gars merveilleux ne fasse pas partie du conte de fée, il se peut que ce soit... vous... toute seule... qui vous reconstruisiez
et vous repartirez à zéro, vous vous rendrez ainsi disponible pour un meilleur avenir. Peut-être que le conte de fée c’est tout simplement... tourner la page... Ou peut-être que le conte de fée c’est le fait que en dépit de tous les appels retournés, les cœurs brisés... en dépit de toutes les gaffes et les signes mal interprétés... en dépit de tous les chagrins et les humiliations... vous n’ayez jamais, jamais perdu espoir. »
Je vous laisse avec une nouvelle photo toute fraiche - c'est le cas de le dire - d'aujourd'hui.

Bye.

 « Et alors il s’est passé quelques choses, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était cela la liberté. »

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